
De la Carte du Tendre à l'Empire du Stress
Ce titre est une métaphore géographique (et politique) : l’Empire. Ainsi ce livre se veut un guide, une cartographie du phénomène de stress ; d’autres métaphores géographiques y sont volontiers utilisées comme les "sources" du stress.
Il semble que c’est dans l’Italie du 16ème siècle qu’on a pris l’habitude d’utiliser des métaphores géographiques pour décrire dses émotions, en particulier à propos du livre de l'Arioste « Le Roland Furieux » . C’est d’ailleurs de ce roman que viennent les prénoms d’Angélique et Charles utilisées dans le livre pour décrire un couple de salariés typique de notre époque.
Cette mode a été reprise au siècle suivant par Madeleine de Scudéry dans son célèbre roman « Clélie, histoire romaine » qui comprenait la célèbre « carte du tendre ». Cette carte permettait de visualiser la situation des deux partenaires dans leur relation amoureuse, comme un ancêtre de la thérapie de couple. Comme clin d’œil à Mme de Scudéry, les premières lettres des prénoms de personnalités à problèmes du chapitre 3 forment le nom de Scudéry : Sylvie, Claude, Ursule, Denis, Edith, Rose et Yvan. A cela près que j’ai utilisé le prénom de Sylvie deux fois, et j’ai rajouté Madeleine, son prénom, dans la liste.
Madame de Scudéry a fréquenté le fameux salon de l’Hôtel de Rambouillet, et j’ai ainsi repris des prénoms des personnalités qui fréquentaient cet endroit : Catherine (Catherine de Vivonne) ou Julie (Julie d’Angennes). C’est aussi un lieu qui fut fréquenté par Mme de Sévigné, auteur des lettres sur la mort de Vatel qui sont le fil conducteur du livre ; et elle y rencontra le Duc de La Rochefoucauld, auteur des Maximes, chez qui elle apprit la mort du cuisinier.
Cette lecture n’est pas nécessaire à la compréhension de « L’Empire du Stress ». Mais je suis convaincu que le stress vient aussi de la perte de contact avec nos racines ou notre histoire… et c’est ma façon d’y remédier !
Ce titre est une métaphore géographique (et politique) : l’Empire. Ainsi ce livre se veut un guide, une cartographie du phénomène de stress ; d’autres métaphores géographiques y sont volontiers utilisées comme les "sources" du stress.
Il semble que c’est dans l’Italie du 16ème siècle qu’on a pris l’habitude d’utiliser des métaphores géographiques pour décrire dses émotions, en particulier à propos du livre de l'Arioste « Le Roland Furieux » . C’est d’ailleurs de ce roman que viennent les prénoms d’Angélique et Charles utilisées dans le livre pour décrire un couple de salariés typique de notre époque.
Cette mode a été reprise au siècle suivant par Madeleine de Scudéry dans son célèbre roman « Clélie, histoire romaine » qui comprenait la célèbre « carte du tendre ». Cette carte permettait de visualiser la situation des deux partenaires dans leur relation amoureuse, comme un ancêtre de la thérapie de couple. Comme clin d’œil à Mme de Scudéry, les premières lettres des prénoms de personnalités à problèmes du chapitre 3 forment le nom de Scudéry : Sylvie, Claude, Ursule, Denis, Edith, Rose et Yvan. A cela près que j’ai utilisé le prénom de Sylvie deux fois, et j’ai rajouté Madeleine, son prénom, dans la liste.
Madame de Scudéry a fréquenté le fameux salon de l’Hôtel de Rambouillet, et j’ai ainsi repris des prénoms des personnalités qui fréquentaient cet endroit : Catherine (Catherine de Vivonne) ou Julie (Julie d’Angennes). C’est aussi un lieu qui fut fréquenté par Mme de Sévigné, auteur des lettres sur la mort de Vatel qui sont le fil conducteur du livre ; et elle y rencontra le Duc de La Rochefoucauld, auteur des Maximes, chez qui elle apprit la mort du cuisinier.
Cette lecture n’est pas nécessaire à la compréhension de « L’Empire du Stress ». Mais je suis convaincu que le stress vient aussi de la perte de contact avec nos racines ou notre histoire… et c’est ma façon d’y remédier !